La problématique des infrastructures publiques pouvant accueillir les institutions dans les nouvelles provinces constitue un défi majeur pour la future province du Bas-Uélé, ont fait remarquer les ressortissants de cette partie du pays réunis samedi 4 avril à Kinshasa à l’initiative de l’Association des cadres et agents de la grande Province Orientale (Acapor).
«Il n’y a pas d’infrastructures. Il n’y a pas toutes les structures qui peuvent faire qu’on puisse considérer le chef-lieu de Bas-Uélé comme étant une ville valable qu’on peut considérer comme chef-lieu de la province», a déploré l’élu d’Ango, Robert Paysayo Maliako.
Selon lui, tout est à refaire. Les routes sont presque inexistantes, surtout pour relier l’arrière province au chef-lieu. Les écoles n’existent presque pas.