Quatre mois après la dernière incursion des rebelles de la LRA à Ango, la société civile de ce territoire indique que la population locale vit encore dans la psychose. Les paysans qui redoutent toujours une attaque de ces rebelles ougandais ne se rendent plus régulièrement aux champs.
L’administrateur du territoire d’Ango confirme cette psychose et appelle les habitants de cette entité à la vigilance « pour éviter toute surprise ».