Dans un communiqué publié le jeudi 13 février, la Monusco indique avoir été informée de plusieurs violations graves des droits de l’homme, dont l’exécution sommaire de plus de 70 hommes et femmes, commises dans les groupements de Nyamaboko I et II, dans le territoire de Masisi (Nord-Kivu).
Martin Kobler, le Chef de la Monusco, se dit « extrêmement préoccupé par ces allégations très graves qui sont inacceptables », soulignant que les personnes impliquées dans de tels actes doivent faire face à la justice.
Selon la mission onusienne, les exécutions sommaires auraient été principalement commises par des groupes armés terrorisant la population. Une mission de la Monusco est sur le terrain pour vérifier les faits.