L’ ONG Global Witness a annoncé, vendredi 4 mars, que «des soldats congolais et des groupes armés ont continué le commerce illicite de minerais dans cette partie du pays, malgré la suspension pendant six mois de l’exploitation minière artisanale.»
Dans un communiqué, cette ONG internationale estime que l’interdiction n’a pas réduit le contrôle illégal qu’exercent sur ce commerce les groupes armés et même l’armée nationale congolaise.
Le ministre des Mines, Matthieu Kabwelulu, a annoncé, mardi 1er mars, que l’exploitation minière dans les deux Kivu et au Maniema va reprendre le 10 mars; après 6 mois de suspension par le chef de l’Etat.