L’organisme internationale de développement “initiative diamant et développement (DDI)” a clôturé, le jeudi 9 février à Kinshasa, un atelier de deux jours pour lancer son projet pilote de recensement des exploitants artisanaux de diamant dans les deux Kasaï.
Ce projet qui va s’étaler sur une année est financé par le gouvernement canadien. Selon la directrice de DDI, Dorothée Gizenga, il vise à améliorer le suivi de la production des diamants congolais et l’élimination de la fraude minière.
Tout ceci, selon elle, dans le cadre du processus de Kimberley dont la présidence est assurée, en 20010, par la RDC.
Les représentants du Service d’assistance et d’encadrement des exploitants artisanaux (Saesscam), du Centre d’évaluation, d’expertise et certification des substances minérales précieuses et semi-précieuses (CEEC), de la Fédération congolaise de diamantaires (Fecodi) et les délégués des divisions des Mines des deux provinces concernées ainsi que ceux du ministère des Mines ont participé à cet atelier.