Quatre femmes sont accusées à Shabunda de détenir un poison dénommé “Karuho”. Un produit qui tuerait à petit feu.
Elles sont détenues à la police nationale locale, à plus de 300 kilomètres à l’ouest de Bukavu.
Selon une ONG des droits de l’homme, ces femmes dont l’une a vendu la mèche, ont avoué détenir ce poison qu’elles auraient acheté auprès d’une femme retournée à Bukavu.
La police regrette ne pas pouvoir être en mesure de vérifier dans un laboratoire la véracité de cette information sur le produit trouvé sur ces femmes.