« Le président de la République Démocratique du Congo doit stopper l'exécution massive de plus de 170 personnes ». C’est l’alerte lancée par l’ONG Amnesty International dans un communiqué de presse publié ce mardi. Selon cette organisation, le ministre de la Justice de la RDC, Constant Mutamba qui a annoncé le 5 janvier dernier que plus de 170 personnes, soupçonnées d’être liées à des gangs criminels communément appelés « Kulana » ou « bandits », avaient été transférées de la capitale Kinshasa à la prison d’Angenga, dans le nord-ouest du pays, pour y être exécutées.
Pour la Directrice adjointe du programme Afrique de l'Est et Afrique australe d'Amnesty International, l’annonce de ces transferts de prison est absolument consternante. Elle dit craindre des exécutions massives imminentes de la part des autorités en raison du manque d’informations fiables sur le statut des personnes condamnées à mort.
Les auditeurs ont débattu avec Me Jean Mobert Senga Chercheur à Amnesty International, spécialiste de la RD, sous la modération de Guy Mathe.
Suivez dans cet enregistrement :
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