La ville de Johannesburg abrite du 02 au 04 novembre le forum sur l’AGOA, la loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique. L’évènement va réunir une délégation de haut niveau des États-Unis et des ministres de commerces des pays d’Afrique éligibles à l’AGOA. Sauf imprévu, la RDC devra être représentée par une délégation du ministère de commerce extérieur conduite par le ministre Jean Lucien Busa. Les contours et l’avenir de la loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique seront au cœur des enjeux de ce forum. Plus de détails avec Cynthia Bashizi Nabizana.
Autres sujets
Kinshasa : La mission du FMI venue à la rencontre des officiels congolais dans le cadre de la cinquième revue du programme triennal conclu avec le gouvernement congolais est arrive au terme de son travail.
Goma : Comment les coopératives d’épargne travaillent avec les AVEC…////////////////////////////////
Toujours dans le Nord Kivu, les conducteurs des voitures de transport en commun entre Butembo et Goma qui transitent par la déviation de Kitshanga dans le territoire de Masisi dénoncent des tracasseries sur cet axe routier. L’union nationale des transporteurs, UNATRA, une association locale des transporteurs, renseigne que chaque voiture qui emprunte cette route doit obligatoirement payer deux cents dollars américains. Cet argent est perçu aux différentes barrières des FARDC, du M23 et des groupes armés locaux. Selon un transporteur qui a requis l’anonymat, les transporteurs payaient avant la guerre cent trente dollars pour arriver à Goma. Mais aujourd’hui, ils dépensent au moins 200 dollars. Le M23 demande 10 au niveau de leur barrière à Kitshanga ; les militaires eux demandent entre 150 et 200 dollars ; les Wazalendo demandent par position dix ou vingt mille Francs, et chaque passager paie cinq mille francs à chaque position. Et pour compenser les dépenses ainsi engagées, dit-il, ils sont obligés de prendre à bord plus de passagers, sept passagers dans une voiture.
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Kinshasa : invité, Rami Bassim DG de SAMCRETE
La société SAMCRETE chargée d’exécuter les travaux de la RN1 dans son tronçon Mbuji-Mayi Kananga est sommée de justifier environ 24 millions USD par l’IGF. Cela avant tout décaissement de fonds supplémentaire pour la poursuite des travaux. Echos d’Economie reçoit pour vous, le Directeur General de cette entreprise pour tenter de comprendre ce qui est reproche à SAMCRETE. Rami Bassim, c’est lui le Directeur général de SAMCRETE, dit ne pas comprend cette sortie médiatique de l’IGF qu’il juge non fondée. L’invite de l’économie s’entretient à ce sujet avec Cynthia Bashizi Nabizana. /sites/default/files/2023-11/01_11_2023_evhos_pad.mp3
