La nouvelle convention de gestion des établissements publics d’enseignement maternel, primaire et secondaire a été signé le 11 novembre dernier à Kinshasa (RDC) entre l’État congolais, représenté par le ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique (EPST) et les Confessions religieuses. Il s’agit d’un document qui définit la réforme du cadre légal devant régir son sous-secteur, après trois tentatives échouées en 2011, 2015 et 2019. Contrairement à ce qui a été écrit dans le préambule de l’ancienne version de la convention scolaire, la nouvelle version ne liera exclusivement que l’État congolais et les Confessions religieuses, en termes de partenariat. Elle n’est pas ouverte aux personnes physiques ou morales autres, qui sont libres de créer des écoles privées agréés. - Quelles sont alors les innovations apportées dans cette nouvelle convention scolaire signée entre l’EPST et les confessions religieuses ?
Taty DILENGENDJU MAPUKU s’entretient sur ce sujet avec Richard Musomo Amundala, conseiller du chef de l’Etat en charge de l’éducation et de la recherche.