L’Assemblée nationale a interdit, mardi 8 novembre, au gouvernement d’amorcer toute initiative, visant à intégrer les forces négatives dans les FARDC, la police nationale ou autres services de sécurité.
La chambre basse du Parlement a accusé ces assaillants de s’être livrés à l’exploitation illicite des ressources naturelles de la RDC et aux violations des droits de l’homme dans l’Est du pays.
Elle a levé cette option pendant que le gouvernement de la RDC s’apprête à participer, dans la capitale kenyane, aux pourparlers de Nairobi avec les groupes armés pour mettre fin au cycle de violence dans la partie Est du pays.
Questions :
-Que pensez-vous de cette résolution de l’Assemblée nationale ?
-Pourrait-elle aider la RDC à avoir une armée républicaine et bien structurée ?
Invités :
-Jacques Djoli, professeur de droit constitutionnel. Il est député national et vice-président de la Commission défense et sécurité à l’Assemblée nationale. Il est Diplômé d’études spécialisées en question stratégiques et politiques de défense.
-Bob Kabamba, professeur à l’Université de Liège en Belgique. Il est coordonnateur de la Cellule d’appui politologique en Afrique centrale et aux Caraïbes.
-Casimir Ngumbi, politologue et expert dans les domaines des violences politiques et des groupes armés.
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