La troisième tenue des discussions du processus de paix de Nairobi, entre le Gouvernement congolais et les groupes armés actifs en RDC, va s’ouvrir le 16 novembre prochain dans la capitale Kenyane.
La porte-parole adjointe du chef de l’Etat, Tina Salama insiste sur le fait que « ces discussions, bien qu’ouvertes à tous les groupes armés réfractaires, y compris les rebelles du M23, ne sont pas pour autant un blanchissement ni une sorte de purgatoire pour ceux qui ont commis des crimes dans l’Est de la RDC, bien qu’une brèche de justice transitionnelle leur soit ouverte ».
Concernant le déploiement de la force kenyane, Tina Salama reconnait qu’il s’inscrit dans la logique des chefs d’Etat de la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC) de « combattre indistinctement toutes les forces négatives qui sèment l’insécurité dans l’Est de la République démocratique du Congo, qu’elles soient M23 ou autres ».
La porte-parole adjointe du chef de l’Etat s’entretient avec Michel Kifinda.