José Endundo Bononge est député élu aux dernières élections législatives provinciales et nationales du 30 décembre 2018. Il était, il y a quelque temps, confronté au dilemme du choix à opérer entre son siège au niveau de l’assemblée nationale et au niveau de l’assemblée provinciale.
Cet ancien président du bureau provisoire de l’assemblée provinciale de l’Equateur, vient de renoncer à son siège à l’assemblée provinciale au profit de celui de l’Assemblée nationale. Il s’affiche toutefois comme candidat à l’élection sénatoriale prévue en mars prochain.
Concernant le phénomène de corruption dénoncé ces jours-ci en rapport avec les sénatoriales, ce cadre du G7 dit qu’il faut tout faire pour combattre la corruption, et que le niveau de vie des gens corresponde aux fonctions qu’ils occupent.
José Endundo explique le fait que les grands électeurs, allusion faite aux députés provinciaux, sont certes des nantis, mais « ils sont confrontés à des obligations sociales beaucoup plus considérables, plus nombreuses et plus importantes que le commun des mortels ».
Sur la situation qui prévaut au sein de la coalition Lamuka avec les dernières déclarations et des départs annoncés des certains de ses cadres, le député José Endundo s’interroge sur la nécessité de garder cette coalition et annonce être dans la même réflexion que Gabriel Kyungu wa Kumwanza. « Si on veut garder une alliance politique, il faut maintenant le dire clairement qu’il y a une alliance politique post-électorale », a-t-il déclaré.
Il s’entretient sur ces sujets avec Paul-Richard Malengela :
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