La société civile de Lubero s'inquiète de l'insécurité qui sévit dans ce territoire, empêchant selon elle des nombreux candidats aux scrutins de décembre à battre campagne.
Cinq groupements sur les vingt-deux que compose ce territoire connaissent un activisme des groupes armés.
Georges Katsongo président de la société civile de Lubero se dit inquiet de cette situation puisque beaucoup de villages sont vidés de leurs habitants, alors que la Ceni prévoit que l'électeur puisse voter là où il s’est fait enrôler. Il estime ainsi que beaucoup de gens risquent de ne pas voter.