
Des requérants attendant le début de l’enrôlement d’électeurs à l’école Kamweneji dans la commune de la Kenya à Lubumbashi, jeudi 5 janvier 2017. Ph. Radio Okapi/Carine Tope
Le rapporteur de la CENI, Jean-Pierre Kalamba, explique qu’après le saccage de ces deux centres en janvier dernier, les données électorales ont été perdues:
«Les électeurs enrôlés pendant la période où il y a eu des troubles de la population, des troubles qui ont abouti à la destruction de ces centres, risquent de ne pas se retrouver sur les listes d’électeurs. Et du coup, ils ne pourront ni voter, ni être candidats. Ce sont eux qui vont perdre».