Les membres du collectif « Jeunes unis pour la paix dans le Grand-Nord » se disent préoccupés par les messages de haine, les appels à la violence diffusés à travers les réseaux sociaux dans le territoire de Beni.
Ces jeunes disent craindre que ces messages favorisent les conflits communautaires au Nord-Kivu. Selon le coordonnateur du collectif, Chirac Kahindo Katwalya, des rumeurs sont également propagées notamment à travers des messages téléphones pour susciter la peur ou la haine.
Il invite le gouvernement à agir en identifiant les numéros de téléphone qui diffusent ces messages.