Cinq cent dix-neuf ex-combattants, expulsés jeudi 14 janvier d’un site qu’ils occupaient sur la route TP depuis 2009 dans la ville de Kisangani, réclament un espace libre pour travailler.
Ces éléments démobilisés depuis 2005 disent avoir été placés à cet endroit par le gouvernement provincial pour exercer diverses activités comme la menuiserie, la soudure et la fabrication des casseroles. Ils y ont été délogés par des militaires.
Selon le chargé de communication du commissaire de la province de la Tshopo, l’entreprise chinoise Crec 7 doit entreposer du matériel d’asphaltage des routes à cet endroit.