Quatre vingt-cinq femmes sont victimes de fistules génitales dans le district du Tanganyika ont indiqué mercredi 11 décembre des ONG engagées dans la lutte contre les violences faites aux femmes dans la région du Katanga, au cours d’un café de presse organisé par l’ONG Search Common Ground au Beach Musalala.
Les organisateurs ont déploré la persistance de l’insécurité, entretenue par des groupes armés, notamment à Bendera, Manono, Moba, Pweto ou encore Mitwaba.
Selon les mêmes sources, la majorité des bourreaux se comptent parmi les combattants Maï-Maï, les militaires et policiers et, dans une moindre proportion, la population civile.