Certains observateurs ont dénoncé, lundi 11 avril, la lenteur des opérations de la révision du fichier électoral dans la ville de Kisangani et à l’intérieur de la Province Orientale.
Cette lenteur est due au rythme de travail des certains opérateurs de saisie de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) et au manque de financement pour accélérer ces opérations.
Des kits électoraux traînent encore dans les chefs-lieux des territoires, faute d’argent pour leur acheminement dans les centres d’inscription.
La Société financière et commerciale (Soficom), partenaire de la Ceni, traînerait les pas dans le décaissement des fonds, selon les mêmes sources.