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Ils se comptent par centaines, ces passagers qui le matin comme le soir, rejoignent le centre ville ou rentrent chez eux, perchés au dessus des voitures du train urbain. Irréguliers pour la plupart d’entre eux, ils se soucient peu de tout le risque qu’ils encourent en voyageant dans ces conditions. D’aucuns affirment que c’est pour échapper au contrôle des tickets qu’ils choisissent cet endroit très dangereux. Pour eux, l’essentiel est d’arriver à bon port. La majorité de ces passagers sont des personnes qui exercent du petit commerce au centre ville.Nicole Ngaka recoit Kiasi Mayimona, directeur chemin de fer/Onatra
