La crise qui sévit à Bukavu force les populations
congolaises à traverser la frontière vers le Burundi. D’après les autorités burundaises, il y a aujourd’hui
près de 17 mille Congolais réfugiés dans les régions frontalières de Tshibitoke et Rugombo. D’après
le chargé d’information du HCR/Burundi, la communauté humanitaire sur place sécurise tous les
réfugiés quelle que soit leur ethnie d’origine.
Articles de la catégorie « Actualité »
16/06/2004 - 11:01
La crise qui sévit à Bukavu force les populations congolaises à traverser la frontière vers le Burundi. D’après les autorités burundaises, il y a aujourd’hui près de 17 mille Congolais réfugiés dans les régions frontalières de Tshibitoke et Rugombo. D’après le chargé d’information du HCR/Burundi, la communauté humanitaire sur place sécurise tous les réfugiés quelle que soit leur ethnie d’origine.
16/06/2004 - 11:01
La crise qui sévit à Bukavu force les populations congolaises à traverser la frontière vers le Burundi. D’après les autorités burundaises, il y a aujourd’hui près de 17 mille Congolais réfugiés dans les régions frontalières de Tshibitoke et Rugombo. D’après le chargé d’information du HCR/Burundi, la communauté humanitaire sur place sécurise tous les réfugiés quelle que soit leur ethnie d’origine.
16/06/2004 - 11:01
La crise qui sévit à Bukavu force les populations congolaises à traverser la frontière vers le Burundi. D’après les autorités burundaises, il y a aujourd’hui près de 17 mille Congolais réfugiés dans les régions frontalières de Tshibitoke et Rugombo. D’après le chargé d’information du HCR/Burundi, la communauté humanitaire sur place sécurise tous les réfugiés quelle que soit leur ethnie d’origine.
16/06/2004 - 10:42
Les propos de Laurent Nkunda sur les
persécutions ethniques lors des événements de Bukavu ne font pas l’unanimité dans la
communauté banyamulenge. L’honorable Hénoch Sebineza, membre de cette communauté pense
qu’il n’ y a pas de massacres planifiés sur sa communauté ici en RDC. Pour ce député,
le peuple congolais doit éviter de tomber dans le piège de la stigmatisation à cause de la
méconduite d’un membre de la communauté banyamulenge.
Toujours dans ce chapitre,
16/06/2004 - 10:42
Les propos de Laurent Nkunda sur les persécutions ethniques lors des événements de Bukavu ne font pas
l’unanimité dans la communauté banyamulenge. L’honorable Hénoch Sebineza, membre de cette communauté pense
qu’il n’ y a pas de massacres planifiés sur sa communauté ici en RDC. Pour ce député, le peuple
congolais doit éviter de tomber dans le piège de la stigmatisation à cause de la méconduite d’un membre de la
communauté banyamulenge.
Toujours dans ce chapitre, après l’ONG Human Rights Watch, la section droits
16/06/2004 - 10:42
Les propos de Laurent Nkunda sur les persécutions ethniques lors des événements de Bukavu ne font pas l’unanimité dans la communauté banyamulenge. L’honorable Hénoch Sebineza, membre de cette communauté pense qu’il n’ y a pas de massacres planifiés sur sa communauté ici en RDC. Pour ce député, le peuple congolais doit éviter de tomber dans le piège de la stigmatisation à cause de la méconduite d’un membre de la communauté banyamulenge.
16/06/2004 - 10:42
Les propos de Laurent Nkunda sur les persécutions ethniques lors des événements de Bukavu ne font pas l’unanimité dans la communauté banyamulenge. L’honorable Hénoch Sebineza, membre de cette communauté pense qu’il n’ y a pas de massacres planifiés sur sa communauté ici en RDC. Pour ce député, le peuple congolais doit éviter de tomber dans le piège de la stigmatisation à cause de la méconduite d’un membre de la communauté banyamulenge.
16/06/2004 - 10:42
Les propos de Laurent Nkunda sur les persécutions ethniques lors des événements de Bukavu ne font pas l’unanimité dans la communauté banyamulenge. L’honorable Hénoch Sebineza, membre de cette communauté pense qu’il n’ y a pas de massacres planifiés sur sa communauté ici en RDC. Pour ce député, le peuple congolais doit éviter de tomber dans le piège de la stigmatisation à cause de la méconduite d’un membre de la communauté banyamulenge.
15/06/2004 - 17:44
Le gouverneur
Koloso Sumaili est arrivé au chef-lieu du Maniema ce mardi 15 juin, accompagné de son épouse
et un de ses trois enfants. Accueilli par les notabilités de la ville, les autorités
politico-administratives et une population en liesse, le nouveau gouverneur se fixe deux
priorités à savoir la sécurisation de la province et son désenclavement. Il prône le travail
comme moyen pour y parvenir.