Suicide d’une femme à Goma dans le quartier Murara. Elle a su qu’elle était séropositive. Dans son désespoir, seule à la maison, elle a envoyé un enfant lui acheter du pétrole. Puis, elle s’est étendue sur son lit. Elle s’est aspergée du pétrole et a mis le feu. Ses voisins ont tenté de la secourir mais en vain.
Articles de la catégorie « Actualité »
04/11/2004 - 16:25
Suicide d’une femme à Goma dans le quartier Murara. Elle a su qu’elle était séropositive. Dans son désespoir, seule à la maison, elle a envoyé un enfant lui acheter du pétrole. Puis, elle s’est étendue sur son lit. Elle s’est aspergée du pétrole et a mis le feu. Ses voisins ont tenté de la secourir mais en vain.
04/11/2004 - 16:25
Suicide d’une femme à Goma dans le quartier Murara. Elle a su qu’elle était séropositive. Dans son désespoir, seule à la maison, elle a envoyé un enfant lui acheter du pétrole. Puis, elle s’est étendue sur son lit. Elle s’est aspergée du pétrole et a mis le feu. Ses voisins ont tenté de la secourir mais en vain.
02/11/2004 - 16:10
L’extension de l’institut facultaire des sciences de l’information et de la
communication, IFASIC est opérationnelle à Mbuji Mayi depuis hier lundi. Et ce, en attendant
l’ouverture officielle renvoyée à une date ultérieure. Les étudiants ont débuté les cours
avec le doyen de cette faculté venu de Kinshasa : le professeur Munsoko wa Bombe. Selon le
programme, seuls les premier et deuxième graduats seront organisés à Mbuji-Mayi. Le
troisième graduat se fera à Kinshasa.
02/11/2004 - 16:10
L’extension de l’institut facultaire des sciences de l’information et de la communication, IFASIC est opérationnelle à Mbuji Mayi depuis hier lundi. Et ce, en attendant l’ouverture officielle renvoyée à une date ultérieure. Les étudiants ont débuté les cours avec le doyen de cette faculté venu de Kinshasa : le professeur Munsoko wa Bombe. Selon le programme, seuls les premier et deuxième graduats seront organisés à Mbuji-Mayi. Le troisième graduat se fera à Kinshasa.
02/11/2004 - 16:10
L’extension de l’institut facultaire des sciences de l’information et de la communication, IFASIC est opérationnelle à Mbuji Mayi depuis hier lundi. Et ce, en attendant l’ouverture officielle renvoyée à une date ultérieure. Les étudiants ont débuté les cours avec le doyen de cette faculté venu de Kinshasa : le professeur Munsoko wa Bombe. Selon le programme, seuls les premier et deuxième graduats seront organisés à Mbuji-Mayi. Le troisième graduat se fera à Kinshasa.
02/11/2004 - 16:10
L’extension de l’institut facultaire des sciences de l’information et de la communication, IFASIC est opérationnelle à Mbuji Mayi depuis hier lundi. Et ce, en attendant l’ouverture officielle renvoyée à une date ultérieure. Les étudiants ont débuté les cours avec le doyen de cette faculté venu de Kinshasa : le professeur Munsoko wa Bombe. Selon le programme, seuls les premier et deuxième graduats seront organisés à Mbuji-Mayi. Le troisième graduat se fera à Kinshasa.
02/11/2004 - 16:10
Un élément de la police d’intervention rapide a tué par balles deux femmes
et blessé grièvement trois autres personnes, tous de la même famille. C’était hier lundi
au quartier Yolo, au Sud de la capitale congolaise.
Selon des témoignages recueillis
sur place, le policier mis en cause était ivre et avait eu une discussion avec son amante
qui figurait parmi les victimes décédées. La fusillade s’est déroulée aux environs de 23
h.
02/11/2004 - 16:10
Un élément de la police d’intervention rapide a tué par balles deux femmes et blessé grièvement trois autres personnes, tous de la même famille. C’était hier lundi au quartier Yolo, au Sud de la capitale congolaise.
Selon des témoignages recueillis sur place, le policier mis en cause était ivre et avait eu une discussion avec son amante qui figurait parmi les victimes décédées. La fusillade s’est déroulée aux environs de 23 h.
02/11/2004 - 16:10
Un élément de la police d’intervention rapide a tué par balles deux femmes et blessé grièvement trois autres personnes, tous de la même famille. C’était hier lundi au quartier Yolo, au Sud de la capitale congolaise.
Selon des témoignages recueillis sur place, le policier mis en cause était ivre et avait eu une discussion avec son amante qui figurait parmi les victimes décédées. La fusillade s’est déroulée aux environs de 23 h.