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A 9 jours de l’expiration de l’ultimatum de la MONUC, le de désarmement dans la région de l’ Ituri semble s’accélérer. Hier lundi 21 mars, plus d’une centaine des miliciens sont venus s’ajouter à ceux qui ont déposé volontairement leurs armes la semaine dernière. Il s’agit notamment, des éléments des Forces armées du peuple congolais (FAPC). Cent d’entre eux ont été admis au centre de transit à Aru, après avoir rendu leurs armes aux casques bleus. Et au même moment, 50 miliciens du Front des

Kemal Saiki, directeur de l’information publique de la Mission des Nations Unies au Congo (MONUC) l’a répété encore hier lundi. Il réagissait ainsi à la rumeur faisant état de l’arrestation, le week-end dernier, de Thomas Lubanga. Kemal Saiki, directeur de l’information publique de la Mission des Nations Unies au Congo (MONUC) l’a répété encore hier lundi. Il réagissait ainsi à la rumeur faisant état de l’arrestation, le week-end dernier, de Thomas Lubanga.

C’est ce matin que ledit policier a succombé à ses blessures par balles, à l’hôpital général de Bolenge, une localité située à 9 kilomètres du chef-lieu de l’Equateur. La victime, Albert Ingenda, était brigadier en chef. Elle a été grièvement blessée par des hommes en uniforme. Selon des témoignages, le policier rentrait d’une visite familiale à Ionda, à 15 kilomètres de Mbandaka. C’est sur le tronçon Mbandaka-Boleng que deux hommes armés, en uniforme, l’ont attaqué, à environ 7 kilomètres de la ville.

Samedi dernier, trois autres officiers de l’Union des patriotes congolais de Thomas Lubanga, ont rejoint leurs collègues au camp du contingent marocain des casques bleus de la MONUC à Bunia. Comme les sept premiers qui se sont rendus jeudi dernier, ils ont remis leurs armes pour se mettre dans le processus de l’intégration dans l’armée congolaise. Ceci porte ainsi à dix, le nombre d’éléments officiers de l’UPC de Thomas Lubanga ayant accepté volontairement de rendre les armes pour favoriser l’avènement de la