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Plusieurs centaines d’entre eux sont rentrés depuis ce mardi matin, a observé radiookapi.net Un officier de liaison de la Mission des Nations Unies au Burundi l’a confirmé. Les autorités burundaises ont finalement accepté de laisser entrer ces Congolais franchir leur territoire. Ils sont entrés en petits groupes, sous surveillance militaire. Revenus au Sud-Kivu, notamment à Uvira, pour se faire enrôler, ces populations congolaises ont dû rester trois jours durant à la frontière, alors

Elle est venue évaluer les conditions sécuritaires aux ports de Matadi, Boma et Banana. La délégation comprend notamment, deux experts de la sécurité portuaire et maritime ainsi que du conseiller économique de l’ambassade des USA en RDC, précise radiookapi.net Ces trois ports congolais sont des ports internationaux. Ils sont sous la menace de fermeture par des organisations mondiales de sécurité maritime, parce que ne répondant pas, dit-on, aux normes internationales en la matière. La RDC s’est

Selon radiookapi.net, citant le commandement militaire du Sud-Kivu, ces officiers, tous des Mai-Mai, sont accusés de violation du règlement militaire et d’avoir commis des infractions de droit commun. Tous ont le grade de colonel. Il s’agit de Baleke, de la 111e brigade, Cibalonza et Nakiliba, de la 106e brigade et ainsi que du colonel Alonda. Le premier est accusé d’avoir transformé sa résidence privée en un cachot où il séquestrait les gens. Quant aux deux suivants, Cibalonza et Nakiliba, il est

Elles ont été relâchées le week-end passé, rapporte radiookapi.netrnExpulsées il y a deux semaines du Rwanda, ces personnes ont immédiatement été mises en détention par la Dgm (Direction générale des migrations) de Goma. Elles étaient soupçonnées d’être en connivence avec l’ex-général dissident Laurent NKundabatware. Ces personnes appartiennent toutes à l’Ong « Synergie pour la paix et la concorde ». Une organisation, affirme-t-on, proche de Nkunda. Elles ont été relâchées le week-end passé.