Un calme précaire règne à Bolenge, une cité située à 9 kilomètres de Mbandaka, après la vague de pillages qu’il a connue. Une patrouille militaire s’est rendue sur place pour sécuriser la population contre les insurgés fuyards. Mais la population qui s’est confiée à radiookapi.net dit n’avoir pas encore retrouvé de sérénité.
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Articles de la catégorie « Actualité »
14/07/2005 - 17:41
C’est depuis
une semaine que les troupes de la 10e région militaire ont lancé des offensives contre des
groupes de combattants hutus rwandais. Ceux-ci battent en retraite, mais se réinstallent
dans d’autres localités où ils tentent de se réorganiser, rapporte radiookapi.net
Les FARDC ont commencé leurs attaques mercredi 6 juillet à Mushinga en territoire de
Walungu. En fait, les éléments de la 103e brigade ont ouvert un premier front sur Burhinyi,
14/07/2005 - 17:41
C’est depuis une semaine que les troupes de la 10e région militaire ont lancé des offensives contre des groupes de combattants hutus rwandais. Ceux-ci battent en retraite, mais se réinstallent dans d’autres localités où ils tentent de se réorganiser, rapporte radiookapi.net
14/07/2005 - 17:33
Washington condamne « le massacre brutal et lâche des
civils du 9 juillet dernier.»Dans un communiqué, Tom Casey, porte-parole du département
d‘Etat américain recommande que les rebelles rwandais rendent les armes et rentrent
immédiatement chez eux.
De même, le Conseil de sécurité condamne ces massacres
et appelle les FDLR à honorer les engagements pris pour le rapatriement de leurs
combattants. Le Conseil de sécurité condamne fermement ces massacres et appelle les
14/07/2005 - 17:33
Washington condamne « le massacre brutal et lâche des civils du 9 juillet dernier.»Dans un communiqué, Tom Casey, porte-parole du département d‘Etat américain recommande que les rebelles rwandais rendent les armes et rentrent immédiatement chez eux.
De même, le Conseil de sécurité condamne ces massacres et appelle les FDLR à honorer les engagements pris pour le rapatriement de leurs combattants. Le Conseil de sécurité condamne fermement ces massacres et appelle les autorités congolaises à traduire en justice les auteurs et les responsables de ces crimes.
14/07/2005 - 17:13
La
vie reprend petit à petit son cours normal dans la localité de Nyamilima après son contôle
par les FARDC. En revanche, la situation est toujours confuse Nyakakoma, à 180 km au nord de
Goma. Cette localité serait toujours sous le contrôle de combattants Mai Mai/FDLR, rapporte
radiookapi.net
D’après des sources religieuses, les habitants de Nyamilima ont
commencé à rentrer chez eux depuis ce mercredi matin. Ils avaient fui lundi après l’attaque
14/07/2005 - 17:13
La vie reprend petit à petit son cours normal dans la localité de Nyamilima après son contôle par les FARDC. En revanche, la situation est toujours confuse Nyakakoma, à 180 km au nord de Goma. Cette localité serait toujours sous le contrôle de combattants Mai Mai/FDLR, rapporte radiookapi.net
14/07/2005 - 17:05
Sept femmes sur les 27 victimes de l’insurrection ont déposée mercredi une plainte à
l’Auditorat militaire de la garnison de Mbandaka par le canal de l’Equipe de Soutien au
Développement Intégral Humanitaire et de la Biodiversité (ESDIHB), une ONG qui s’occupe de
la prise en charge des victimes des violences sexuelles, indique radiookapi.net
Me Lambert Lisika, coordonnateur adjoint chargé de l’assistance juridique et judiciaire,
précise que sur les 27 cas recensés, il y a 7 victimes de violences sexuelles. « Ces
14/07/2005 - 17:05
Sept femmes sur les 27 victimes de l’insurrection ont déposée mercredi une plainte à l’Auditorat militaire de la garnison de Mbandaka par le canal de l’Equipe de Soutien au Développement Intégral Humanitaire et de la Biodiversité (ESDIHB), une ONG qui s’occupe de la prise en charge des victimes des violences sexuelles, indique radiookapi.net
14/07/2005 - 12:16
Cinq jours après les massacres de Mamba au Sud Kivu, les habitants de Bukavu demandent à
l’Etat congolais d’assurer davantage leur sécurité. Ils regrettent ces événements de Mamba
et appellent l’armée à assumer ses responsabilités. radiookapi.net a recueilli les réactions
des uns et des autres.
«A quelle distance se trouvaient les troupes de la 10e
région militaire par rapport à l’endroit du drame? Comment pouvait-on brûler vif une
trentaine de personnes dans un village s’il y avait des militaires dans les environs? »,