
L’Inspecteur général à l’Education nationale, Hubert Kimboza, a exhorté ses collaborateurs à fournir un travail de qualité dans les établissements scolaires.
Lors d’une réunion de travail tenue le samedi 25 octobre avec les cinq Inspecteurs Principaux Provinciaux (IPP) de Kinshasa, il a insisté sur la gratuité du contrôle de qualité de l’enseignement.
A travers ses injonctions, l’Inspecteur général a exprimé le souhait que l’Inspection de l’Éducation nationale redevienne le pilier de la transformation du système éducatif national.
« Nous avons transmis le message de l’autorité : faire en sorte que l’Inspection de l’Éducation nationale redevienne le pilier de la transformation qualitative de notre système éducatif. C’est l’inspecteur qui contrôle l’enseignement dans les salles de classe, qui détecte les insuffisances chez les enseignants. Il faut donc fournir davantage d’efforts. Si l’inspecteur parvient à identifier les erreurs et à les corriger, alors sur le terrain, l’enseignant fera un bon travail, et le produit final — le diplômé — sera inattaquable dans les années à venir », a déclaré Hubert Kimboza.
Il a également précisé que ces directives émanent de la ministre de l’Éducation nationale.
Dans le secteur de l’Éducation nationale, les missions des inspecteurs consistent notamment à assurer le contrôle pédagogique, à évaluer les enseignants et les établissements, à vérifier le respect des programmes et à accompagner les réformes éducatives dans le pays.
 
        









