Le week-end dernier, la ville de Kinshasa a été une fois de plus frappée par des inondations meurtrières. Une quarantaine de personnes ont perdu la vie, des familles entières sont endeuillées, des maisons détruites. L’émotion est vive. Et avec elle, les critiques fusent : contre l’État, contre les autorités locales, contre l’urbanisation incontrôlée sur fond de corruption…
Et comme souvent, après le choc, viennent les mots. Parfois pour consoler, mais aussi pour accuser. Il est légitime d’exiger des réponses et d’établir des responsabilités après de tels drames. Mais alors, comment exprimer notre colère et notre indignation sans tomber dans les insultes, les accusations simplistes ou les discours violents ?
Pour en parler, ce magazine reçoit :
- Hubert Masomeko, chercheur en droit de l’environnement, associé au Centre de recherche sur la démocratie et le développement en Afrique (CREDDA).
- Edem Dadzie, journaliste et directeur exécutif de l’association Afrique Eco 2100, basée à Lomé, au Togo.
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