Depuis des décennies, plusieurs milices occupent les aires protégées de l’Est de la RDC, notamment les parcs Virunga, Kahuzi-Biega et Maiko. Cette occupation illégale entraîne des conséquences non-négligeables sur les ressources naturelles, selon les écologistes. Les dégâts causés par les mouvements rebelles dans les aires protégées de l’Est de la RDC nécessitent un inventaire et une réparation car ce sont des sites classés dans le patrimoine universel de l’UNESCO, soulignent les activistes.
Quel est l’impact de l’occupation illicite des milices dans les aires protégées de l’Est de la RDC ?
Les détails dans cet entretien de Jody Daniel Nkashama avec le professeur Jean De Dieu Minengu, Coordonnateur Adjoint de l’Agence Congolaise de Transition Ecologique et Développement Durable (ACTEDD)
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