Des nombreuses plantations de café, de cacao, de caoutchouc, de l’hévéa et des palmiers à huile sont presque à l’état d’abandon dans plusieurs provinces de la RDC. Et pourtant, ce sont des spéculations qui peuvent ramener les devises au trésor public. Ce secteur a subi de plein fouet les effets de deux pillages des années 90 qui ont occasionné le manque de la demande de ces cultures par l’industrie locale et une chute vertigineuse de ces cultures à l’exportation. A ce facteur s’ajoute le cycle d’insécurité dans certaines régions à vocation agricole du pays. Pour certains observateurs, il est inconcevable que la RDC qui possèdent 80 millions d’hectares de terres arables puisse importer par exemple l’huile de palme de la Malaisie. – Quels sont les projets qu’initient l’ONGI Better Life dans la relance de la culture pérenne en RDC ? - Quels sont les ménages qui sont déjà bénéficiaires de ses actions ? - Quelles sont les grandes activités prévues en 2025 ?
Jody Nkashama discute de ce sujet avec Bernard Kilungu et Blaise Dekey Molo, respectivement administrateur exécutif et coordonnateur de l’ONGI Better Life.
Joseph Mabanga, vulgarisateur de cette ONGI a également pris part à cet entretien.
