Les députés de l’opposition, membres d’Ensemble pour la République et d’Avançons-MS, dénoncent "l'acharnement de la majorité au pouvoir" sur leurs sièges difficilement acquis à la Cour constitutionnelle.
Plus de 20 députés d’Ensemble et Avançons-MS, sur moins de 29 élus de l’opposition, sont en contentieux électoral contre d’autres candidats malheureux de l’Union sacrée.
Les élus d’Ensemble pour la République dénoncent une tentative de retour au parti unique. Ils en appellent au chef de l'Etat, Félix Antoine Tshisekedi, magistrat suprême et aux juges de la Cour constitutionnelle, à un dernier sursaut patriotique pour sauver ce qui reste des acquis de la démocratie à l’Assemblée nationale.
Quelle analyse faites-vous de la déclaration des députés du regroupement politique de Moïse Katumbi ?
Invités
-Gratien de Saint-Nicolas Iracan, député national élu de la ville de Bunia en Ituri. Il est cadre d’Ensemble pour la république, parti politique de l’opposition
-Ntumba Tshabola Bintu, député honoraire et cadre de l’Union Sacrée.
-Ithiel Batumike, chercheur à Ebuteli, institut congolais sur la politique, la gouvernance et la violence.
/sites/default/files/2024-02/28022024-p-f-dialogue_entre_congolais-00site.mp3