L’Inspecteur principal provincial de l’EPST au Maï-Ndombe 3 a interdit, jeudi 21 avril, certaines pratiques dont le maquis et les frais d’organisation matérielle, à l’examen d’Etat 2022.
Jean Cosmos Yema a lancé une mise en garde contre les réfractaires à cette mesure.
« Parmi ces instructions, il y a notamment la lutte contre les anti-valeurs souvent illustrées dans des maquis organisés par les élèves et que l’exigence aux candidats de payer les frais dits d’organisation matérielle », a-t-il expliqué.
Jean Cosmos Yema dit avoir eu plusieurs réunions avec les acteurs pour que cette épreuve nationale se tiennent dans l’ordre.
« Nous luttons contre les antivaleurs. Il y a eu de multiples rencontres avec des inspecteurs, avec les responsables de l’éducation au niveau de la base, tous les sous proved, tous les inspecteurs chefs des pools, tous les chefs d’antennes Secope pour leur dire que nous ne voulons pas entendre parler de ça », a insisté l’IPP de Maï-Ndombe 3.
Il affirme également avoir pris les dispositions pour que les candidats passent l’examen d’Etat dans de bonnes conditions.
Pour Jean Cosmos Yema, le frais de dissertation sera perçu tel que fixé par l’arrêté du gouverneur de province.
Le frais de participation aux épreuves hors session de l’examen d’Etat est fixé à 80.000 FC, soit 40 USD, au Maï-Ndombe.