
Les objectifs du projet ont été exposés aux parties prenantes, c’est-à-dire les acteurs étatiques et non étatiques lors de cet atelier.
En effet, la province de l’Equateur, dans l’Ouest de la RDC, renferme une variété des lacs et rivières, des marécages et terres humides, des tourbières et autres ressources.
Toutes ces ressources naturelles jouent un rôle essentiel dans le climat et l’hydrologie planétaire. Le projet vise donc à étendre la gestion de ces ressources aux communautés riveraines, notamment celles des territoires de Bikoro, Lukolela à l’Equateur et de Kiri dans le Maidombe.
Et selon le directeur du projet, Jean Ilunga Muneng, ces communautés sont appelées, entre autres, à la conservation des forêts et à l'utilisation durable des terres, suivant le plan intégré de l’aménagement du territoire. Elles sont conviées aussi à assurer la conservation de la biodiversité et la séquestration du carbone.
En contrepartie, le projet prévoit des activités alternatives : « Tout travail mérite salaire. Les paiements environnementaux sont de paiements de certaines incitations aux paysans pour les encourager à conserver. Par exemple, l’achat d’un moulin, on fournit du petit bétail aux communautés », a-t-il expliqué.
Lors de cet atelier, le projet « Child en RDC » a prévu des mécanismes de gestion et de suivi technique et financier partagés aux parties prenantes, lors de l’atelier de lancement.