Environ une personne sur dix fait ses grands besoins à l’air libre en RDC, selon le projet village assaini du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef). L’absence des installations sanitaires dans nombre des ménages serait entre autres à la base de ce phénomène décrié par les experts en santé publique et par des spécialistes en sciences de l’environnement. - Quel état de lieu faire de la défécation à l’air libre en RDC ? - Quelles sont les conséquences de cette pratique sur la santé de l’homme et sur l’environnement ? - Et, quels sont les mécanismes mis en place par les autorités congolaises pour mettre fin à la défécation à l’air libre d’ici 2030, selon la recommandation des ODD ?
Marcel Ngombo discute de ce sujet avec Jean Jacques Diyabanza, chef de division de la communication à la direction générale de l’hygiène.