La RDC figure parmi les pays ayant le plus faible taux d'électrification en Afrique. Selon nos sources, moins de 10 % de la population congolaise dispose d'un accès à l'électricité, 35 % dans les zones urbaines et moins de 1 % dans les zones rurales. Pour augmenter le taux d’accès à l’électricité sur l’ensemble du territoire national, certains partenaires se sont lancés depuis la libéralisation du secteur dans la construction des microcentrales hydroélectriques en milieu péri-urbain. Cependant, l’absence d’une main d’œuvre qualifiée dans le secteur ne facilite pas le bon fonctionnement et la pérennisation de ces différentes microcentrales hydroélectriques disséminées sur l’ensemble du territoire national avec comme conséquence des arrêts brusques et intempestifs de la production du courant électrique qui est bénéfique pour les communautés locales. Pour contourner cette contrainte, le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et l’Institut National pour la Préparation Professionnelle (INPP) ont mis en place un vaste projet de promotion des microcentrales hydroélectriques sur l’ensemble du territoire national. - En quoi consiste exactement ce projet de promotion des mini et des microcentrales hydroélectriques en RDC ?
Des plus amples détails dans ce numéro d’Echo du développement que vous présente Taty DILENGENDJU Mapuku.
