En RDC, les coopératives d’épargne et de crédit offrent l’opportunité aux gagnepetits d’améliorer leurs conditions de vie en mettant à leurs dispositions des prêts pouvant les aider à se lancer dans les activités génératrices des revenus. Le taux de remboursement de ces crédits est relativement bas comparativement à celui des banques commerciales. Cependant, plusieurs congolais ne font plus confiance à ces structures de microfinance de proximité, car en cas de faillite ou de fermeture, il est très difficile pour les clients de récupérer l’argent épargner. - Que faut-il faire pour améliorer les services de coopératives d’épargne et de crédit œuvrant en RDC ? - Est-ce que ces structures de microfinance contribuent réellement au développement socioéconomique de leurs clients ?
Marcel Ngombo s’entretient sur ce sujet avec professeur Daniel Djedi Djongalombo Ohonge, chercheur associé au Centre de droit des affaires et du commerce international de la faculté de droit de l'Université de Montréal (Canada).
