L’Ingénieure Thérèse Izay Kirongozy et son groupe Women’s technology dans la lutte contre le coronavirus en RDC

Actualité

Sur 650 échantillons testés le mardi 9 février en RDC, 119 sont déclarés positifs au coronavirus, selon l’INRB : 47 cas à Kinshasa, 29 dans le Haut-Katanga, 19 au Sud-Kivu, 13 au Nord-Kivu, 6 au Lualaba et 5 au Kongo Central.

Deux cas de décès ont aussi été rapportés et 17 nouvelles personnes ont été déclarées guéries dans les CTCo et parmi les personnes suivies à domicile dont 9 au Nord-Kivu et 8 à Kinshasa.

Depuis le début de l’épidémie déclarée le 10 mars 2020, le cumul des cas est de 23.890, dont 23.889 cas confirmés et 1 cas probable. Au total, il y a eu 686 décès (685 cas confirmés et 1 cas probable) et 15.168 personnes guéries.     

Les 23 provinces touchées sont : Kinshasa 18.690 cas ; Kongo Central 1.444 cas ; Nord-Kivu 1.381 cas ; Haut-Katanga  956 cas ; Sud-Kivu 628 cas ; Ituri 224 cas ; Lualaba 198 cas ; Tshopo 103 cas ; Haut-Uélé 95 cas ; Equateur 48 cas ;  Nord-Ubangi 40 cas ; Maniema 19 cas ; Kasaï Central 17 cas ; Kwilu 9 cas ; Sud-Ubangi 7 cas ; Kasaï-Oriental 7 cas ; Tanganyika 7 cas ; Bas-Uélé 6 cas ; Kwango 4 cas ; Kasaï 2 cas ; Mai-Ndombe 2 cas ; Tshuapa 2 cas et Haut-Lomami 1 cas.

Autres nouvelles

*Bonjour à tous et à toutes. C’est par le Parc national des Virunga, au Nord-Kivu, que nous ouvrons cette page où des mesures anti-Covid-19 sont scrupuleusement observées pour protéger les gorilles de montagne de cet espace. Ces primates sont régulièrement suivis par les éco-parcs pour éviter que cette espèce endémique de la faune congolaise soit contaminée par le coronavirus. Tout en respectant des mesures exceptionnelles de lutte anti-Covid-19, les médecins vétérinaires du Parc national des Virunga suivent au quotidien l’état de santé de ces gorilles, surtout celui des bébés gorilles. Source : le site du Journal Le Nouvel Observateur paraissant à Kinshasa.

**Sans transition passons dans le monde, après quatre semaines d’enquête à Wuhan en Chine, les experts de l’OMS ont annoncé mardi n’être pas en mesure de déterminer l’origine de la pandémie de Covid-19 et jugé hautement improbable la thèse d’une fuite d’un laboratoire. L’hypothèse la plus probable est plutôt celle d’une transmission du coronavirus depuis un premier animal puis un deuxième avant une contamination à l’homme. Mais l’animal original n’a pas non plus été identifié par les experts de l’OMS.

Question

Encore une question qui intéresse le personnel des Nations unies. La vaccination contre le coronavirus est-elle obligatoire pour le personnel du système onusien ?

La réponse vient de l’ONU elle-même.

Tout le personnel des Nations Unies est encouragé à se faire vacciner contre le COVID-19, mais ce n’est pas obligatoire. Indépendamment du fait qu’elle ait été approuvée par l’OMS ou avalisée par les directeurs et directrices de services médicaux, toute procédure de vaccination doit reposer sur le consentement éclairé de la ou du bénéficiaire. Il est recommandé à tous les membres du personnel des Nations Unies et personnes à leur charge participant aux campagnes nationales de vaccination de demander à leur prestataire de soins de santé des informations complètes sur le type de vaccin proposé, afin de pouvoir décider en toute connaissance de cause de se faire vacciner, ou non, dans le cadre du programme de vaccination du pays concerné ou pays hôte.

Action partenaire

C’est le 11 février aujourd’hui. Chaque année, cette date est consacrée à la célébration de la Journée internationale des femmes et filles de sciences. Le thème de cet événement est : « Les femmes scientifiques à la pointe de la lutte contre le Covid-19 ».  La partenaire du jour est donc Mme Thérèse Izay Kirongozi qui parle de sa contribution dans ce combat en RDC.

Excellente écoute

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