Environ une personne sur dix, en RDC pratique la défécation à l’air libre, fait ses grands besoins au vu et su de tout le monde dans un espace ouvert, dans un caniveau, à côté de son champ et dans les cours d’eau. L’absence des installations hygiéniques sur les grandes artères serait entre autres à la base de ce phénomène décrié par les experts en santé publique et par des spécialistes en gestion de l’environnement. - Quel état de lieu faire de la défécation à l’air libre en RDC ? - Quelles sont les conséquences de cette pratique sur la santé de l’homme et sur l’environnement ? - Et, quels sont les mécanismes mis en place par les autorités congolaises pour mettre fin à la défécation à l’air libre d’ici 2030, selon la recommandation des ODD ?
Des plus amples détails dans ce numéro d’Echo du développement que vous présente Taty DILENGENDJU Mapuku.