Les femmes, les jeunes et les enfants sont souvent victimes des violences sexuelles et celles basées sur le genre en RDC. Parfois, elles ne sont pas prises en charge et sont abandonnées à leur triste sort. C’est le cas par exemple d’une cinquantaine de femmes violées à la prison de Kasapa à Lubumbashi au mois de septembre dernier. Depuis lors, elles n’ont vu ni gynécologue, ni magistrat. Par ailleurs, une ligne verte (122) a été mise en place pour assister les victimes des violences sexuelles.
- Comment fonctionne cette ligne ?
Jody Nkashama s’entretient sur ce thème avec Sandrine Lusamba, membre de l’ONG Solidarité Féminine Pour la Paix et la Développement Intégral (SOFEPADI). Pascaline Zamunda, activiste des droits des femmes et coordonnatrice du Cadre de récupération et d’encadrement pour l’épanouissement Intégral des Jeunes (CREIJ) a aussi participé à cette interview.