Un acte d’engagement a été signé samedi 26 octobre à Kisangani entre le gouvernement provincial, les différents partenaires, dont les leaders religieux, ainsi que ceux de la Santé rurale (Sanru) pour lutter contre le paludisme dans la province de la Tshopo.
Selon le conseiller juridique au ministre provincial de la santé, cette maladie, dont la prévalence est estimée à 38%, est la cause de nombreux décès enregistrés dans la Tshopo.
« Il faut éliminer la mauvaise perception que les gens se font sur les intrants, notamment les moustiquaires imprégnées d’insecticide. Aussi accroitre de la connaissance du paludisme ; à savoir : les causes, les conséquences ainsi que la prise en charge des malades. Ceci pourrait, à coup sûr, réduire le taux de morbidité et de mortalité » a-t-il, souligné.
De son côté, le chef de projet de Sanru préconise la mutualisation des efforts de tous les partenaires en vue de réduire le taux de morbidité et de mortalité dans les 322 zones de santé de la province de la Tshopo.