Amnesty International à Tshisekedi : ne pas nommer dans le gouvernement des personnes soupçonnées d’atteintes aux droits humains

Dans un communiqué publié mardi dernier, Amnesty international demande au Président Félix-Antoine Tshisekedi de veiller à ce qu’il n’y ait pas de place pour des personnes soupçonnées d’atteintes aux droits humains dans son gouvernement

Pour cette Ong, tout complice présumé de tels crimes devrait être immédiatement soumis à une enquête.

Le Parlement et les autres institutions pertinentes doivent vérifier minutieusement les antécédents de toute personne pressentie pour un poste dans la fonction publique afin d’écarter les responsables présumés de crimes relatifs aux droits humains au regard du droit national et international, en attendant l’issue des enquêtes et des procès qui les concernent, recommande l’organisation.

 

 Quelle lecture faire de cette déclaration ?

 

Invités :

Jean-Mobert Senga, Chercheur sur la RDC pour Amnesty international.

Me Célestin Tunda Ya Kasende, Vice-ministre honoraire des affaires étrangères. Ancien secrétaire général adjoint du Pprd, il est actuellement haut cadre du Pprd et du Fcc.

Christian Moleka, Analyste. Il est Coordinateur de la Dynamique des politologues de la RDC.

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