« Le discours d’apaisement du président de la République, Félix Tshisekedi, est la détermination de la RDC à mettre en œuvre ses engagements de la réconciliation et la cohésion nationale », a affirmé mardi 22 janvier le coordonnateur intérimaire du Mécanisme national de suivi de l’Accord d’Addis-Abeba, John Kasuku.
Selon lui, la RDC doit promouvoir les objectifs de réconciliation nationale, conformément à l’accord-cadre d’Addis-Abeba.
« Il est capital que toutes les forces vives de la nation s’investissent dans la lutte contre des postures de haine tribale, de divisionnisme et de violence. Ceci permettra à notre pays de mieux capitaliser les bases de respectabilité », a affirmé John Kasuku, en marge de la réunion préparatoire de la célébration des six ans d’existence de la signature de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba.
L’accord d’Addis-Abeba a été signé le 24 février 2013 en Ethiopie. Selon le gouvernement congolais, cet accord est « une étape majeure qui a été franchie » dans la résolution de la crise dans l’Est de la RDC, afin de « créer les conditions d’une solution définitive aux crises à répétition dans l’Est de la RDC ».