C’est depuis le 23 septembre 1974 que la RDC a ratifié la convention relative à l’adhésion de ces parcs nationaux sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco. En adhérant à cette convention de droit international, la RDC a le devoir de protéger les valeurs pour lesquelles ces aires protégées ont été inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco. Cependant, l’instabilité politique ayant prévalu dans la région des grands Lacs Africains depuis les années 1990, l’insécurité grandissante et l’expansion démographique à proximité de ces sites, l’exploitation illicite des matières premières dans ces aires protégées et le braconnage sont les quelques facteurs qui ont entraîné le classement de ces sites sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco en péril.
- Quel plan opérationnel mettre en place pour faciliter le retrait de ces aires protégées de la liste du patrimoine mondial de l’Unesco en péril ?
Eléments de réponse dans ce numéro d’Echo pour le développement avec Taty DILENGENDJU Mapuku à la présentation.
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