La 7e édition du projet d’appui aux communautés dépendant de la forêt s’est clôturée samedi 22 septembre à Mbuji-Mayi. Durant trois jours, les représentants des peuples autochtones de Lupatapata, Lusambo, Lubao, Lubefu et Kabinda, cinq territoires du Kasaï-Oriental, dans son ancienne configuration, ont eu à valider des micro-projets à soumettre au financement de la Banque mondiale.
Keddy Bosulu, coordonnateur national du Réseau des populations autochtones et locales pour la gestion durable des écosystèmes forestiers (REPALEF), explique l’objectif :
« Le projet va intervenir dans des activités de base. C’est-à-dire des projets locaux qui ont un lien avec la gestion de l’environnement et la lutte contre les changements climatiques. »
Il s’agit, par exemple, de projets de reboisement ou de restauration des écosystèmes forestiers. Keddy Bosulu précise que les projets liés à l’agriculture durable sont aussi éligibles :