Le président de la plateforme Ensemble pour le changement, Moïse et Katumbi et Adolphe Muzito, dont la candidature a été recalée à la présidentielle, condamnent « l’instrumentalisation » de la Cour constitutionnelle par les ténors du pouvoir en place.
Dans un communiqué conjoint daté du 3 septembre à Bruxelles, les deux personnalités rappellent la nécessité du rejet de la machine à voter, de la révision du fichier électoral et de la décrispation politique comme préalables à la tenue de prochaines élections, conformément à l’Accord de la saint Sylvestre.
Katumbi et Muzito s’engagent aussi à mettre en commun leurs efforts afin de poursuivre les contacts avec tous les candidats à la présidentielle et les principaux leaders de l’opposition en vue de la mise en œuvre d’un plan d’actions commun pour « faire échec au pouvoir en place. »