Se confiant à Radio Okapi mardi, ils ont reconnu avoir reçu du chef de la Division provinciale des affaires sociales « une petite enveloppe » pour faciliter leur réinsertion sociale. Ils souhaitent cependant apprendre un métier pour se prendre en charge de manière durable, a plaidé un des ex-enfants soldats.
Réagissant à cette requête, le chef de la Division provinciale des affaires sociales a promis de les inscrire à l'Institut national de préparation professionnelle (INPP) pour un apprentissage professionnel.