La MONUSCO est au courant des allégations des violences sexuelles qu’auraient commises ses casques bleus du contingent sud-africain dans l’Est de la RDC. Selon sa porte-parole, Florence Marchal, les quatre victimes majeures de ces exactions ont été remises au Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) et une mineure au Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF) qui assurent leur prise en charge.
A cet effet, la Mission onusienne rappelle sa politique de tolérance zéro en matière d’exploitation et violences sexuelles qui ne laisse pas impuni tout individu qui serait reconnu coupable.
Florence Marchal aborde cette question avec Jeff Ngoy.
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