Les regroupements et partis politiques de l’opposition représentés au sein du gouvernement Tshibala déplorent la perte en vies humaines et le recours à la violence quels qu’en soient les auteurs, lors de la marche des chrétiens catholiques du 31 décembre. Pour eux, l’objectif doit être fixé sur l’aboutissement du processus électoral en cours.
Les mêmes sources « condamnent toute manipulation du peuple, conduisant à la désobéissance civile, au désordre, à des actes de vandalisme et de contestation non fondées, de nature à retarder la tenue des élections, dès lors que le processus électoral est entré dans sa phase d’irréversibilité.»
Ces regroupements promettent de « s’impliquer » pour faire aboutir le processus électoral. Ils appellent le peuple congolais « au calme et les leaders relevant des confessions religieuses à la neutralité et à la retenue », a indiqué l’un d’eux, argumente José Makila, ministre des Transports et voies de communication.