Des défenseurs des droits humains de la société civile et des avocats ont été formés, samedi 10 juin, sur l’utilisation de la vidéo comme moyen preuve dans la lutte contre l’impunité en matière de crimes graves.
« Tout le monde peut tourner une vidéo mais toute vidéo ne peut pas être utilisée dans une procédure judiciaire. Il y a des critères qu’il faut respecter, notamment le consentement de la personne, l’authentification de la vidéo », a expliqué Me Guy Mushata, consultant juridique auprès de l’ONG Trial international, organisatrice de cette formation.
Selon lui, la technologie moderne s’avère nécessaire pour lutter contre l’impunité mais n’est pas très utilisée en RDC.