Dans son dernier rapport rendu public le jeudi 15 septembre, l’ONG Amnesty international dénonce ce qu’elle qualifie de répression de la liberté d'expression sur fond de retard dans l’organisation des élections en République démocratique du Congo.
Selon le gouvernement Il n’y a pas de harcèlement ni de répression des dissidents politiques en RDC parce que la classe politique est à ce jour au dialogue politique.
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Invité: Mboso N'kodia Pwanga Christophe
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Thème lundi 19 septembre 2016.
La rentrée parlementaire en RDC a eu lieu le jeudi 15 septembre 2016 dernier dans les deux chambres sur fond du dialogue. A l’assemblée nationale, Aubin Minaku a notamment souligné dans son discours que le dialogue reste la sagesse à laquelle le pays a recouru pour conjurer toute tentative de déstabilisation des institutions ; et tout se fera conformément à la constitution.
Au Sénat, le président Léon Kengo a déclaré qu’un accord politique ne manquera pas d’être signé à l’issue du dialogue. Cependant, il espère que le dialogue agira dans le cadre de ses limites étant donné que ce n’est ni un parlement, ni une assemblée constituante. Il a en outre salué « le compromis » trouvé entre majorité et opposition sur l’ordre des élections à organiser en RDC.
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