Kinshasa dénonce les ingérences extérieures

De gauche à droite, Le Président Joseph Kabila Kabange et Le Premier ministre Matata Ponyo Mapon. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

La RDC rejette et condamne formellement l’«ingérence» des gouvernements étrangers dans ses affaires intérieures. Cette déclaration a été faite au cours d’un point de presse le jeudi 7 juillet par  le porte-parole du Gouvernement, Lambert Mende. Selon lui, les institutions parlementaires étrangères  s’autorisent à délibérer, statuer et légiférer sur les affaires de la RDC, en s’appuyant «malicieusement sur un droit d’ingérence humanitaire» par des sanctions ciblées contre des fonctionnaires congolais.

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Invité : Serge Kadima, communicateur de la majorité présidentielle.

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Thème du mercredi 13 juillet 2016

Le groupe de soutien à la facilitation du dialogue en RDC rencontré à Bruxelles le président de l’UDPS, Etienne Tshisekedi, ainsi que d’autres dirigeants de l’opposition congolaise.

Selon le communiqué de ce parti, «l'entretien a porté sur les conditions à créer pour le lancement du dialogue national et a confirmé l'attachement à la résolution 2277 du Conseil de sécurité des Nations unies et au respect de la constitution dans la recherche d'une solution durable.»

Les représentants de l'opposition ont exprimé leur soutien au dialogue facilité par l'Union africaine, avec l'appui du groupe de soutien, tout en insistant sur la mise en place de mesures d'équité, de sécurité et d'apaisement.