La Prospérité: Ni Opposition ni Majorité, voici l’appel de Kakese au changement fondamental

De droite à gauche, Kakese Malela Nicéphore, candidat à la présidentielle 2011, lors d’une rencontre avec des étudiants au siège de son parti politique URDC le 01/10/2011 à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John BompengoDe droite à gauche, Kakese Malela Nicéphore, candidat à la présidentielle 2011, lors d’une rencontre avec des étudiants au siège de son parti politique URDC le 01/10/2011 à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

De droite à gauche, Kakese Malela Nicéphore, candidat à la présidentielle 2011, lors d’une rencontre avec des étudiants au siège de son parti politique URDC le 01/10/2011 à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

Revue de la presse du 3 octobre

La Prospérité: Ni Opposition ni Majorité, voici l’appel de Kakese au changement fondamental

Le journal indique que des foules composées de diverses couches de la société congolaise affluent chaque jour au siège du parti de François Kakese, candidat à l’élection présidentiel.

Selon La Prospérité, ces personnes apportent «un soutien tous azimuts à celui sur qui reposent désormais les espoirs pour un changement fondamental des Congolais, à partir de la révolution culturelle qu’il prône.»

Le Phare, pour sa part, indique que le président national de l’Union pour le réveil et le développement du Congo (URDC) a expliqué devant un groupe d’étudiants des institutions supérieures et universitaires de Kinshasa qu’ «avec l’alternance, rien ne change car le système politique actuel reste en place. En fait, on ne va changer que le chauffeur mais la voiture reste la même. Or, avec la révolution, nous allons mettre en place un autre système politique que celui dans lequel le chef de l’Etat fait des dons à sa population.»

Un autre candidat fait parler de lui dans la presse, Etienne Tshisekedi.

La Prospérité: Rencontre avec Bemba, Lubanga et Kengo
Clément Kanku salue le courage de Tshisekedi !

Le quotidien affirme que Clément Kanku croit dur comme fer que l’opposition politique va aboutir à la candidature commune, pour l’alternance à la présidentielle de novembre prochain.

La Prospérité note que dans une conférence de presse tenue au Centre du renouveau à Kinshasa/Lingwala le 17 septembre, Clément Kanku avait expliqué que la démarche amorcée par le président national de l’UDPS rencontre l’assentiment de l’Union pour la notion qui s’est engagée à rapprocher toutes les forces acquises au changement afin d’offrir au peuple congolais une véritable alternance.

Le Phare et Le Potentiel s’intéressent à l’interview que le président de l’UDPS a accordée au journal belge «Le Soir».

Le Potentiel note:

«Ce qui frappe en parcourant cette interview c’est ce langage modéré, loin de ce ton dur parfois choquant qui caractérisait les précédentes déclarations du leader de l’UDPS.»

À travers cette interview, le confrère découvre un Tshisekedi rassembleur, convaincu que seul, il ne pourra ni gagner ni réaliser ses promesses électorales si jamais il était élu.

Le Phare indique, de son coté, que Tshisekedi a fait part de sa conviction que «les élections présidentielles vont permettre une alternative au Congo», tout en affirmant que le mandat du président Kabila prend fin le 6 décembre prochain.

Par ailleurs, le confrère rapporte que le candidat de l’UDPS confirme sa tournée à l’Est, notamment à Kisangani, dans les deux Kivu et au Maniema.

Le journal croit savoir que le retour au Congo d’Etienne Tsahisekedi pourra intervenir autour du 28 Octobre, date du lancement officiel de la campagne électorale.

Le Phare rapporte en page intérieure que les armateurs menacent de ne plus desservir les ports maritimes congolais.

Le quotidien soutient que cette menace fait suite à un conflit ouvert qui porte sur la lettre de mer provisoire et sur l’agrément des transporteurs du secteur maritime, explique-t-on dans les milieux concernés.

D’après le confrère, le directeur de l’inspection de transport considère que les navires étrangers fréquentant les ports maritimes congolais doivent détenir une lettre provisoire de mer délivrée par l’autorité de son ministère.

Alors que, assure le Phare, selon le droit maritime international et congolais, la lettre de mer ressemble au passeport attribué aux ressortissants de chaque pays, comme le titre qui atteste de l’identité d’un navire.